Ouagadougou, ce mardi 3 juin dans l’après-midi, le ministre en charge de la communication, Gilbert Ouédraogo, a procédé à l’installation officielle des membres du comité scientifique de la 14ème édition des Universités africaines de la communication de Ouagadougou (UACO).
Du nombre d’environ une dizaine de personnes, le comité scientifique de la 14ème édition des Universités africaines de la communication de Ouagadougou (UACO) a été installé par le ministre en charge de la communication, Gilbert Ouédraogo. Ces hommes et femmes professionnels de l’information, de la communication et des universitaires auront la tâche en octobre 2025, de faire briller leur expertise, afin de contribuer au développement des médias et de la communication sur le continent africain.
En effet, instituée depuis 2004 par le Burkina Faso, les Universités africaines de la communication de Ouagadougou (UACO) regroupent à chaque édition, des journalistes, des professionnels de l’information et de la communication, des universitaires, et d’autres compétences. Et pendant des jours, ils débattent de sujets d’actualité auxquels est confronté le monde des médias et de la communication. Des discussions qui seront significatives et proposeront des solutions aux préoccupations de l’heure et permettront de formuler de nouvelles perspectives pour un meilleur développement des médias et de la communication sur le continent africain.
Et selon le ministre Gilbert Ouédraogo, cette 14ème édition qui se tient dans un contexte où le Burkina et les pays du Sahel (AES) vivent un tournant décisif de leur histoire, il convient que ce colloque puisse permettre à la communication de jouer un rôle fondamental dans la mobilisation des populations. Car selon lui, une communication efficace sensibilise les communautés à participer activement à la vie sociopolitique de l’Alliance des Etats du Sahel.
« Ce comité devra travailler à faire en sorte que les réflexions au cours du colloque marquent les esprits en matière de communication tout en captivant l’Afrique et le reste du monde pour des retombées positives qui impacteront singulièrement le secteur de la communication et par ricochet tout le Burkina Faso. », s’est-il adressé au comité scientifique de ce colloque.
Ahoua KIENDREBÉOGO
OuagaNews.net