Le Conseil des ministres sâest tenu Ă Ouagadougou, le mercredi 02 octobre 2024, en sĂ©ance ordinaire, de 09 H 00 mn Ă 13 H 27 mn, sous la prĂ©sidence de du capitaine Ibrahim TraorĂ©, prĂ©sident du Faso, prĂ©sident du Conseil des ministres.
Il a dĂ©libĂ©rĂ© sur les dossiers inscrits Ă son ordre du jour, entendu des communications orales, procĂ©dĂ© Ă des nominations, et autorisĂ© des missions Ă lâĂ©tranger.
đ. đđđđđđđđđđđđđ
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đđ đ đđđđđđđ đđđđđđđđ, đđ đđđđđđđ đđ đđ đđ đđđđđđđđđđ đđđđđđđ
Le Conseil a adopté un décret portant composition, attributions et modalités de fonctionnement du Comité de santé.
La loi n°003-2021/AN du 1er avril 2021 portant rĂ©gime de sĂ©curitĂ© sociale applicable aux agents publics de lâEtat au Burkina Faso a prĂ©vu des dispositions pour une prise en charge directe des cas dâaccident du travail et de maladie professionnelle. Cependant, pour la prise en charge des maladies prĂ©sumĂ©es dâorigine professionnelle et des cas dâĂ©vacuation sanitaire des victimes dâaccident du travail ou de maladie professionnelle lâintervention du ComitĂ© de santĂ© est nĂ©cessaire.
Ce décret comporte entre autres les innovations majeures suivantes :
– la rĂ©duction du ComitĂ© de santĂ© qui passe de 14 Ă 07 membres ;
– la rĂ©duction des attributions du ComitĂ© de santĂ© Ă lâexamen des cas de maladies prĂ©sumĂ©es dâorigine professionnelle et des dossiers dâĂ©vacuation sanitaire hors du Burkina Faso des victimes dâaccident du travail ou de maladie professionnelle.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet dâamĂ©liorer la prise en charge des maladies prĂ©sumĂ©es dâorigine professionnelle et des Ă©vacuations sanitaires hors du Burkina Faso.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđ đđ đđđ đ đđđđđđđ
Le Conseil a adopté trois (03) rapports.
đđ đ©đ«đđŠđąđđ« đ«đđ©đ©đšđ«đ est relatif Ă un projet de dĂ©cret portant prises de participation de la SociĂ©tĂ© nationale de gestion du stock de sĂ©curitĂ© alimentaire (SONAGESS) dans le capital social de BAGREPOLE SEM et de SOUROUPOLE_SEM.
Ce dĂ©cret vise Ă rĂ©gulariser les prises de participation de la SONAGESS dans le capital social de BAGREPOLE SEM et de SOUROUPOLE_SEM, conformĂ©ment Ă lâarticle 4 de la loi n°25/99/AN du 16 novembre 1999 portant rĂšglementation gĂ©nĂ©rale des SociĂ©tĂ©s Ă capitaux publics.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet la rĂ©gularisation des prises de participation de la SociĂ©tĂ© nationale de gestion du stock de sĂ©curitĂ© alimentaire dans le capital social de BAGREPOLE SEM, pour un montant de 80 000 000 F CFA et de SOUROUPOLE_SEM, pour un montant de 200 000 000 F CFA.
đđ đđđźđ±đąđÌđŠđ đ«đđ©đ©đšđ«đ est relatif Ă un projet de loi portant rĂšglementation bancaire au Burkina Faso.
Ce projet de loi est une relecture de la loi bancaire en vigueur dans les Etats membres de lâUnion monĂ©taire Ouest africaine (UMOA) adoptĂ©e par le Conseil des ministres de lâUMOA en 2007, Ă lâissue des travaux de la rĂ©forme institutionnelle de lâUMOA et de la Banque centrale des Etats de lâAfrique de lâOuest (BCEAO).
Depuis cette date, la BCEAO a conduit plusieurs rĂ©formes structurantes, Ă fort impact sur le cadre rĂ©glementaire et opĂ©rationnel rĂ©gissant lâactivitĂ© de lâUMOA. Ces rĂ©formes visaient le renforcement de la soliditĂ© et de la rĂ©silience du secteur bancaire rĂ©gional, en sâappuyant sur les standards internationaux en la matiĂšre et la mise en conformitĂ© du cadre rĂ©glementaire et de supervision de lâUMOA avec les principes fondamentaux pour un contrĂŽle bancaire efficace.
Ce projet de loi vise à se conformer aux réformes susvisées.
Les innovations majeures de ce projet de loi sont entre autres :
– lâĂ©largissement du champ dâapplication de la loi bancaire notamment aux Ă©tablissements de paiement et aux Ă©tablissements de monnaie Ă©lectronique ;
– lâĂ©largissement aux Caisses des dĂ©pĂŽts et consignations (CDC) de la liste des entitĂ©s exclues du champ dâapplication de la loi bancaire Ă lâinstar de lâadministration des postes ;
– lâapplication des dispositions du droit commun rĂ©gissant les sociĂ©tĂ©s commerciales et les sociĂ©tĂ©s coopĂ©ratives aux Ă©tablissements agréés, sauf dĂ©rogation spĂ©cifique prĂ©vue par la loi.
Le Conseil a marquĂ© son accord pour la transmission dudit projet de loi Ă lâAssemblĂ©e lĂ©gislative de Transition.
đđ đđ«đšđąđŹđąđÌđŠđ đ«đđ©đ©đšđ«đ est relatif Ă un projet de loi portant autorisation de ratification de lâAccord de financement signĂ© le 26 septembre 2024 entre le Burkina Faso et lâAssociation internationale de dĂ©veloppement (IDA), pour le financement du Projet de protection du capital humain (PPCH).
Le montant de lâAccord de financement est estimĂ© Ă 92 700 000 Euros, soit 60 807 219 000 F CFA.
Lâobjectif du PPCH est de soutenir les efforts du Gouvernement pour assurer lâoffre de services essentiels. Il sâagit :
– dâoffrir des consultations de soins de santĂ© gratuites aux femmes enceintes et aux enfants de moins de cinq (05) ans ;
– dâassurer une couverture vaccinale pour les enfants grĂące au vaccin pentavalent ;
– de garantir que tous les Ă©lĂšves passent leurs examens annuels ;
– de sâassurer que les enseignants soient certifiĂ©s et formĂ©s adĂ©quatement.
Le Conseil a marquĂ© son accord pour la transmission dudit projet de loi Ă lâAssemblĂ©e lĂ©gislative de Transition.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđđ đđ đ đđđđđ đđđđđđđđđđ, đđ đđ đđđđđđđđđđđ đđđđđđđđđ đđ đđđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđ
Le Conseil a adoptĂ© un rapport relatif Ă une demande dâagrĂ©ment pour la nomination dâun Ambassadeur Extraordinaire et PlĂ©nipotentiaire de la RĂ©publique du Burundi auprĂšs du Burkina Faso.
Le Conseil a marquĂ© son accord pour la nomination de Monsieur Edouard NDUWIMANA, en qualitĂ© dâAmbassadeur Extraordinaire et PlĂ©nipotentiaire de la RĂ©publique du Burundi auprĂšs du Burkina Faso, avec rĂ©sidence Ă Abuja, en RĂ©publique fĂ©dĂ©rale du NigĂ©ria.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đđ đđđđđđđ đđ đđđ đđđđđđ đđđđđđđ, đđđđđđ đđđ đđđđđđđđđ đđđđ đđđ đđđđđđđđđđđđ
Le Conseil a examiné un projet de loi constitutionnelle portant révision de la Constitution.
Ce projet de loi porte sur la modification de trois (03) articles. Cette modification concerne :
– le changement de la devise du Burkina Faso qui sera dĂ©sormais « La Patrie ou la mort, Nous vaincrons » au lieu de « UnitĂ©-ProgrĂšs-Justice » ;
– la possibilitĂ© de recourir, sous certaines conditions, Ă la consultation parlementaire pour les accords relatifs Ă lâentrĂ©e du Burkina Faso dans une confĂ©dĂ©ration, fĂ©dĂ©ration ou union dâEtats ;
– lâorganisation des services du PrĂ©sident du Faso par loi organique.
MalgrĂ© le changement de devise intervenu en 1997, lâon note que « La Patrie ou la mort, Nous vaincrons » reste et demeure dans la conscience populaire tout un symbole quand il sâagit dâaffirmer son sentiment patriotique et lâacceptation du sacrifice suprĂȘme pour la Nation. Lâusage au quotidien de cette devise aussi bien dans les discours officiels que dans la vie courante des BurkinabĂš nâest plus Ă dĂ©montrer.
Ce projet de loi permettra entre autres, de conformer les dispositions de la Constitution Ă lâusage et Ă la volontĂ© populaire et dâharmoniser la devise avec notre Hymne national le Di-Taa-NiyĂš, chant de la victoire. Il permettra Ă©galement la modification de lâarticle trente-six (36) de la Constitution pour y instituer une administration spĂ©cifique chargĂ©e dâassister le PrĂ©sident du Faso dans lâaccomplissement de ses fonctions.
Le Conseil a marquĂ© son accord pour la transmission dudit projet de loi Ă lâAssemblĂ©e lĂ©gislative de Transition.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđđ đđ đđđđ, đđ đâđđđđđđđđđđđđđđđ đđ đđ đđ đđđđđđđđđ đđđ đđđđđđđ đđđđđđđđđđ
Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant organisation du ministĂšre de lâEnseignement de base, de lâalphabĂ©tisation et de la promotion des langues nationales.
A la suite de la nouvelle composition du Gouvernement consacrĂ©e par le dĂ©cret n°2024-0908/PRES/PM du 1er aoĂ»t 2024 portant composition du Gouvernement, les attributions des membres du Gouvernement ont Ă©galement Ă©tĂ© revues par le dĂ©cret n°2024-1022/PRES/PM du 02 septembre 2024 portant attributions des membres du Gouvernement. Ces deux dĂ©crets ont consacrĂ© la scission du ministĂšre de lâEducation nationale, de lâalphabĂ©tisation et de la promotion des langues nationales en deux dĂ©partements ministĂ©riels, Ă savoir, le ministĂšre de lâEnseignement de base, de lâalphabĂ©tisation et de la promotion des langues nationales et le ministĂšre de lâEnseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique. Pour donner effet aux deux dĂ©crets, il sâavĂšre indispensable dâĂ©laborer un organigramme pour le ministĂšre de lâEnseignement de base, de lâalphabĂ©tisation et de la promotion des langues nationales.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet au ministĂšre de lâEnseignement de base, de lâalphabĂ©tisation et de la promotion des langues nationales de disposer dâun organigramme.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđđ đđđđđđđđđđ, đđ đđ đ đđđđđđđđ đđđđ đđđđđđđđđđđ đđ đđđđđđđđđ
Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant organisation du ministĂšre de lâEnseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique.
Le dĂ©cret n°2024-0908/PRES/PM du 1er aoĂ»t 2024 portant composition du Gouvernement a consacrĂ© la crĂ©ation du ministĂšre de lâEnseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique. La crĂ©ation de ce ministĂšre permet de regrouper lâEnseignement post-primaire et secondaire ainsi que lâenseignement et la formation technique et professionnelle, ce qui constitue une innovation dans lâorganisation du systĂšme Ă©ducatif burkinabĂš.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet au ministĂšre de lâEnseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique de disposer dâun organigramme.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđđ đđđđđđđđđ, đđ đđ đđđđđđđđđ đđ đđ đâđđđđđđđđđđ
Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant organisation du ministĂšre de lâEnseignement supĂ©rieur, de la recherche et de lâinnovation.
A la suite de la nouvelle composition du Gouvernement consacrĂ©e par le dĂ©cret n°2024-0908/PRES/PM du 1er aoĂ»t 2024 portant composition du Gouvernement, les attributions des membres du Gouvernement ont Ă©galement Ă©tĂ© revues par le dĂ©cret n°2024-1022/PRES/PM du 02 septembre 2024 portant attributions des membres du Gouvernement. Pour donner effet aux deux dĂ©crets, il sâavĂšre indispensable dâĂ©laborer un organigramme pour le ministĂšre de lâEnseignement supĂ©rieur, de la recherche et de lâinnovation.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet au ministĂšre de lâEnseignement supĂ©rieur, de la recherche et de lâinnovation de disposer dâun organigramme.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđđđ, đđ đâđđđ đđ đđ đâđđđđđđđđđđđđđđ
Le Conseil a examiné un projet de loi portant interdiction des emballages et sachets en plastique.
Ce projet de loi est une relecture de la loi n°017-2014/AN du 20 mai 2014 portant interdiction de la production, de lâimportation, de la commercialisation et de la distribution des emballages et sachets plastiques non biodĂ©gradables au Burkina Faso.
AprĂšs une dizaine dâannĂ©es de mise en Ćuvre, cette loi a rĂ©vĂ©lĂ© des limites qui ont pour consĂ©quences une faible application de celle-ci et une propagation plus accrue des dĂ©chets dâemballages plastiques dans la nature.
Les innovations majeures de ce projet de loi sont entre autres :
– lâinterdiction gĂ©nĂ©rale de tous les types dâemballages et de sachets en plastiques quâils soient biodĂ©gradables ou non ;
– lâinterdiction de tous les emballages et sachets plastiques Ă usage unique ou encore jetables ;
– lâinterdiction du brulage des emballages et sachets plastiques compte tenu des gaz cancĂ©rigĂšnes que cela libĂšre dans lâatmosphĂšre.
Toutefois des dĂ©rogations Ă lâinterdiction des emballages et sachets en plastique sont prĂ©vues dans ce projet de loi. Elles concernent entre autres :
– les emballages en plastique produits localement ou importĂ©s en vue du conditionnement direct des produits industriels ou manufacturĂ©s tels que les eaux prĂ©emballĂ©es ;
– les emballages Ă des fins de santĂ© publique, de recherche scientifique et expĂ©rimentale, de sĂ©curitĂ© et de sĂ»retĂ© nationales ;
– les emballages et contenants en plastique dur autres que ceux destinĂ©s Ă un usage unique ou jetable.
Le Conseil a marquĂ© son accord pour la transmission dudit projet de loi Ă lâAssemblĂ©e lĂ©gislative de Transition.
đ.đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđđ đđđđđđ, đđ đđ đđđđđđđđ đđ đđ đâđđđđđđ
Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant organisation du ministĂšre des Sports, de la jeunesse et de lâemploi.
A la suite de la nouvelle composition du Gouvernement consacrĂ©e par le dĂ©cret n°2024-0908/PRES/PM du 1er aoĂ»t 2024 portant composition du Gouvernement, les attributions des membres du Gouvernement ont Ă©galement Ă©tĂ© revues par le dĂ©cret n°2024-1022/PRES/PM du 02 septembre 2024 portant attributions des membres du Gouvernement. Ces dĂ©crets consacrent la crĂ©ation du ministĂšre de lâEnseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique qui prend dĂ©sormais le volet formation professionnelle assurĂ©e jusque-lĂ par le ministĂšre des Sports, de la jeunesse et de lâemploi. Pour donner effet aux deux dĂ©crets, il sâavĂšre indispensable dâĂ©laborer un organigramme pour le ministĂšre des Sports, de la jeunesse et de lâemploi.
Lâadoption de ce dĂ©cret permet au ministĂšre des Sports, de la jeunesse et de lâemploi de disposer dâun organigramme.
đđ. đđđđđđđđđđđđđđ đđđđđđ
đđ.đ. Le ministre dâEtat, ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme a fait au Conseil le compte rendu de la participation du Burkina Faso Ă la rencontre des experts, pour la mise en place de la plateforme numĂ©rique de lâAlliance des Etats du Sahel (AES) et lâĂ©laboration des Termes de rĂ©fĂ©rence de la StratĂ©gie de communication, tenue Ă Bamako au Mali, du 21 au 25 aoĂ»t 2024.
La rencontre a rĂ©uni les experts en communication et en Ă©conomie numĂ©rique des trois (03) pays de lâAlliance des Etats du Sahel Ă savoir le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Elle a Ă©tĂ© axĂ©e sur lâĂ©laboration des Termes de rĂ©fĂ©rence de la StratĂ©gie de communication de la ConfĂ©dĂ©ration Alliance des Etats du Sahel ainsi que la mise en place dâune plateforme numĂ©rique certifiĂ©e pour la diffusion de la web TV.
Lâobjectif visĂ© est de doter la ConfĂ©dĂ©ration AES dâune stratĂ©gie de communication assortie dâun plan dâactions opĂ©rationnel dont la mise en Ćuvre va renforcer la visibilitĂ© de lâinstitution et contribuer Ă lâatteinte de ses objectifs.
La plateforme numĂ©rique (RĂ©seaux sociaux, web TV) quant Ă elle, permettra de rassurer les populations et la communautĂ© internationale par la diffusion dâinformations fiables et instantanĂ©es.
đđ.đ. Le ministre dĂ©lĂ©guĂ© auprĂšs du ministre des Affaires Ă©trangĂšres, de la coopĂ©ration rĂ©gionale et des BurkinabĂš de lâextĂ©rieur, chargĂ© de la coopĂ©ration rĂ©gionale assurant lâintĂ©rim du ministre des Affaires Ă©trangĂšres, de la coopĂ©ration rĂ©gionale et des BurkinabĂš de lâextĂ©rieur a fait au Conseil deux (02) communications.
đđ đ©đ«đđŠđąđÌđ«đ đđšđŠđŠđźđ§đąđđđđąđšđ§ fait le compte rendu de la participation du Burkina Faso Ă la rĂ©union des ministres des Affaires Ă©trangĂšres de la ConfĂ©dĂ©ration des Etats du Sahel tenue Ă Bamako au Mali, le 16 septembre 2024.
La rĂ©union a permis dâĂ©changer sur les mĂ©canismes de coordination de lâaction diplomatique de la ConfĂ©dĂ©ration et sur les mesures en lien avec le pilier « diplomatie », ce, conformĂ©ment aux conclusions et recommandations issues du premier Sommet des Chefs dâEtat des pays membres de lâAlliance des Etats du Sahel (AES).
đđ đŹđđđšđ§đđ đđšđŠđŠđźđ§đąđđđđąđšđ§ est relative Ă la relance de Radio jeunesse Sahel.
Le projet Radio jeunesse Sahel est nĂ© dâun partenariat entre lâOrganisation internationale de la francophonie (OIF) et les cinq (05) pays du G5 Sahel que sont le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. Il sâest agi dâĆuvrer Ă favoriser la participation des jeunes de quinze (15) Ă trente-cinq (35) ans du Sahel au dĂ©veloppement de leurs communautĂ©s Ă travers un changement positif de comportements.
Le dĂ©ploiement effectif du projet a commencĂ© avec lâamĂ©nagement et lâĂ©quipement du siĂšge, ainsi que le recrutement du personnel pour les cinq (5) pays et la mise en place de lâadministration. Dans lâattente du lancement officiel pour la diffusion des Ă©missions produites, lâOIF a dĂ©cidĂ© le 30 avril 2024 de façon unilatĂ©rale de la « suspension temporaire » du projet mettant un terme aux contrats des agents recrutĂ©s et lâarrĂȘt des Ă©metteurs. Les contrats des autres partenaires de la radio ont Ă©tĂ© Ă©galement suspendus ou rĂ©siliĂ©s.
Le projet Radio jeunesse Sahel avait pour ambition, dâune part, dâopĂ©rer de façon efficace un changement de mentalitĂ© chez les jeunes des cinq (05) pays, pour en faire des acteurs de la citoyennetĂ© positive et, dâautre part, de contribuer Ă leur Ă©panouissement en leur permettant dâĂ©changer entre eux. Aujourdâhui encore, ces objectifs restent dâactualitĂ© au sein des trois (3) pays de lâAlliance des Etats du Sahel (AES). La nouvelle dynamique communicationnelle enclenchĂ©e au sein des trois Etats constitue alors une belle opportunitĂ© pour la relance de la Radio sous une nouvelle forme.
đđ.đ. Le ministre de lâAdministration territoriale et de la mobilitĂ© a fait au Conseil une communication relative Ă la situation pluviomĂ©trique du 1er avril au 31 aoĂ»t 2024 et la prĂ©vision saisonniĂšre des caractĂ©ristiques agro-climatiques 2024.
Les cumuls pluviométriques saisonniers du 1er avril au 31 août 2024 ont évolué entre 376,4 mm en trente-trois (33) jours de pluie à Korsimoro dans la province du Sanmatenga et 1031,8 mm en quarante (40) jours à TÎ dans la province de la Sissili.
Les cumuls pluviomĂ©triques les plus Ă©levĂ©s ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s dans les provinces des rĂ©gions de lâEst, du Centre-Est, du Centre-Sud, du Centre-Ouest, de la Boucle du Mouhoun, des Hauts-Bassins et des Cascades. Quant aux zones ayant reçu une faible pluviomĂ©trie, ce sont principalement certaines localitĂ©s situĂ©es dans les rĂ©gions du Sahel, du Centre-Nord, du Nord, du Centre, du Plateau-Central et du Sud-Ouest.
Les cumuls pluviomĂ©triques saisonniers du 1er avril au 31 aoĂ»t 2024 ont Ă©tĂ© similaires Ă excĂ©dentaires comparativement Ă ceux de 2023 pour la mĂȘme pĂ©riode sur la majeure partie du pays. En effet, comparĂ©es aux cumuls de 2024 et ceux de la normale pluviomĂ©trique (1991-2020), les plus fortes hausses pluviomĂ©triques ont Ă©tĂ© relevĂ©es Ă BĂ©rĂ©gadougou (+260 mm), Ă Ouagadougou (+165 mm), Ă Bobo-Dioulasso (+101 mm), Ă BogandĂ© (+67 mm) et Ă Fada NâGourma (+64 mm). Par contre, les baisses pluviomĂ©triques les plus importantes par rapport Ă cette mĂȘme pĂ©riode normale ont Ă©tĂ© surtout relevĂ©es Ă Gaoua (-237 mm), Ă SoubakaniĂ©dougou (-221 mm), Ă Kombissiri (-200 mm), Ă BatiĂ© (-198 mm), Ă TiĂ©bĂ©lĂ© (-159 mm), Ă Dissin (-157 mm) et Ă Korsimoro (-146 mm).
En fin de saison, des sĂ©quences sĂšches dont les durĂ©es pourraient ĂȘtre longues avec des tendances normales sont trĂšs probables sur lâensemble du territoire national par rapport Ă la moyenne Ă©tablie sur la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence 1991-2020.
Pour cette campagne agricole 2024, il est attendu sur la totalité du pays, une fin tardive avec une tendance normale de la saison des pluies comparativement à la moyenne établie sur la période de référence 1991-2020.
đđđ. đđđđđđđđđđđ
đđđ.đ. đđđđđđđđđđđ đđđđ đđđ đ đđđđđđđđ đđđđđđđđđđđđđ
đ. đđ đđđđđ đđ đđ đđđđđđđđđ
– Monsieur HaĂŻdara Moctar TABORE, Officier, est nommĂ© Directeur gĂ©nĂ©ral du Service national pour le dĂ©veloppement (SND).
đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđ đđ đđđ đ đđđđđđđ
– Monsieur Salfou SAVADOGO, Mle 208 034 K, Inspecteur du trĂ©sor, 1Ăšre classe, 8Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur des affaires monĂ©taires et financiĂšres (DAMOF) ;
– Monsieur BoukarĂ© ZOUANGA, Mle 56 723 S, Inspecteur du trĂ©sor, 1Ăšre classe, 14Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur de la dette publique ;
– Monsieur Moustapha DIABATE, Mle 272 946 J, Inspecteur du trĂ©sor, 1Ăšre classe, 5Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Comptable principal en deniers et en valeurs de lâUniversitĂ© Daniel-Ouezzin COULIBALY (UDOC) ;
– Monsieur Vlabedar Ulrich Michel MEDA, Mle 257 119 U, Inspecteur du trĂ©sor, 1Ăšre classe, 5Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Comptable principal des matiĂšres du ministĂšre des Sports, de la jeunesse et de lâemploi ;
– Monsieur AimĂ© NAMA, Mle 343 228 U, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 3Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial des impĂŽts de la Komondjari ;
– Monsieur Adama KOTE, Mle 49 118 G, Inspecteur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 6Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial des impĂŽts du Mouhoun ;
– Monsieur Zakaria SAWADOGO, Mle 343 550 T, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 3Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du Centre dĂ©partemental des impĂŽts de Gon-Boussougou ;
– Monsieur Sountonghnoma Bernard COMBASSERE, Mle 239 668 Y, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 3Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du Centre dĂ©partemental des impĂŽts de Kindi ;
– Monsieur Kouagadebwaoga Jean Bosco COMPAORE, Mle 219 199 K, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 5Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du Centre dĂ©partemental des impĂŽts de Kokologho ;
– Monsieur Wendpanga Basile Aristide COMPAORE, Mle 303 131 N, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 2Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du Centre dĂ©partemental des impĂŽts de MogtĂ©do ;
– Monsieur Nestor BADO, Mle 303 115 T, ContrĂŽleur des impĂŽts, 1Ăšre classe, 4Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du Centre dĂ©partemental des impĂŽts de NâDorola.
đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đđ đđđđđđđđ
– Monsieur Abou Bakar COMPAORE, Mle 57 721 W, Commissaire de police, catĂ©gorie 1, 5Ăšme classe, 2Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Windongoudi Hamadou GUIGMA, Mle 57 712 S, ContrĂŽleur gĂ©nĂ©ral de police, catĂ©gorie 1, 4Ăšme classe, 4Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Inspecteur gĂ©nĂ©ral des services ;
– Monsieur Lassana BARGO, Mle 111 495 E, Commissaire divisionnaire de police, catĂ©gorie 1, 3Ăšme classe, 3Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur gĂ©nĂ©ral des Ă©tudes et des statistiques sectorielles.
đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđđ đđ đ đđđđđ đđđđđđđđđđ, đđ đđ đđđđđđđđđđđ đđđđđđđđđ đđ đđđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđ
– Monsieur TingandĂ© Florent BOUGOUMA, Mle 105 156 C, Ministre plĂ©nipotentiaire, 1Ăšre classe, 10Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ministre Conseiller prĂšs lâAmbassade du Burkina Faso Ă Moscou (FĂ©dĂ©ration de Russie).
đ. đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđ, đđđ đđđđđđđđđđ đđđđđđđđ đđ đđđđđđđđđđđđ
– Madame Aminata LOMPO/NâDOUNGA, Gestionnaire de projets, est nommĂ©e Directrice de la promotion de la transformation des produits agro-pastoraux et halieutiques nationaux Ă la Direction gĂ©nĂ©rale de la promotion de lâĂ©conomie rurale (DGPER) ;
– Monsieur Ibrahim Harouna MAIGA, Mle 245 060 J, IngĂ©nieur dâĂ©levage et de santĂ© animale, 1Ăšre classe, 2Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du dĂ©veloppement des productions animales Ă la Direction gĂ©nĂ©rale des productions animales ;
– Monsieur Mamadou DIALLO, Mle 50 365 E, Conseiller dâadministration scolaire et universitaire, 1Ăšre classe, 10Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur du dĂ©veloppement pastoral Ă la Direction gĂ©nĂ©rale du foncier, de la formation et de lâorganisation du monde rural (DGFOMR).
đ . đđ đđđđđ đđ đđđđđđđđđ đđ đâđđđđđđđđđđđđ đđ đđđđ, đđ đâđđđđđđđđđđđđđđđ đđ đđ đđ đđđđđđđđđ đđđ đđđđđđđ đđđđđđđđđđ
– Monsieur Vincent de Paul Sidinson OUEDRAOGO, Officier, est nommĂ© Conseiller technique chargĂ© des questions sĂ©curitaires ;
– Monsieur Isso CISSO, Mle 45 276 Y, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 12Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Moussa NIKIEMA, Mle 38 814 Y, Conseiller dâadministration scolaire et universitaire, 1Ăšre classe, 12Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Sidzabda Emmanuel YAMEOGO, Mle 84 859 Z, Professeur certifiĂ© des lycĂ©es et collĂšges, 1Ăšre classe, 13Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Hatimi DEME, Mle 38 192 X, Inspecteur gĂ©nĂ©ral de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 12Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Madame Marie FĂ©licitĂ© BORGHO/SAWADOGO, Mle 29 844 R, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 11Ăšme Ă©chelon, est nommĂ©e ChargĂ©e de mission ;
– Monsieur Moumounou KONATE, Mle 35 087 A, Inspecteur gĂ©nĂ©ral de lâenseignement primaire et de l’Ă©ducation non formelle, 2Ăšme classe, 10Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Arouna SORGHO, Mle 34 440 J, Conseiller dâintendance scolaire et universitaire, 1Ăšre classe, 14Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur TiambĂš DIOMA, Mle 20 808 N, Inspecteur gĂ©nĂ©ral de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 17Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© ChargĂ© de mission ;
– Monsieur Boubacar OUEDRAOGO, Mle 40 681 W, Enseignant-chercheur, catĂ©gorie PA, grade initial, 4Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur gĂ©nĂ©ral de lâInstitut national de formation des personnels de lâĂ©ducation (INFPE) ;
– Monsieur SiĂ© PALE, Mle 55 320 F, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 8Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur rĂ©gional de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Sud-Ouest ;
– Monsieur Adelphe MOSSE, Mle 50 829 D, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 6Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle de la Bougouriba ;
– Monsieur Sylvain THIOMBIANO, Mle 39 512 U, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 8Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle de la Gnagna ;
– Monsieur Yatenyoua Lucien OUOBA, Mle 50 580 U, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 10Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle de la Komondjari ;
– Monsieur Kandiadiba TINDANO, Mle 38 048 T, Inspecteur de lâenseignement du premier degrĂ©, 1Ăšre classe, 9Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle de la Kompienga ;
– Monsieur Ouboli Marcel YOGO, Mle 45 351 G, Inspecteur de lâenseignement du premier degrĂ©, 1Ăšre classe, 9Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Kouritenga ;
– Monsieur Hyacinthe KI, Mle 40 804 K, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 9Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du KourwĂ©ogo ;
– Monsieur Thomas GARANE, Mle 37 724 B, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 11Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Nayala ;
– Monsieur Hendrix Dayvis SANKARA, Mle 87 472 Y, Inspecteur de lâenseignement du premier degrĂ©, 1Ăšre classe, 6Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Noumbiel ;
– Monsieur SiĂ© KĂ©rĂ©woulĂ© Jonas TIOYE, Mle 47 848 C, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 6Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Poni ;
– Monsieur Aldjouma SORO, Mle 36 951 U, Inspecteur de lâenseignement primaire et de lâĂ©ducation non formelle, 1Ăšre classe, 12Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Directeur provincial de lâĂ©ducation prĂ©scolaire, primaire et non formelle du Sourou.
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– Monsieur HonorĂ© SAVADOGO, Mle 76 513 S, Conseiller dâintendance scolaire et universitaire, 1Ăšre classe, 10Ăšme Ă©chelon, est nommĂ© Personne responsable des marchĂ©s du Fonds national de la recherche et de lâinnovation pour le dĂ©veloppement (FONRID).
đđđ.đ. đđđđđđđđđđđ đđđđ đđđ đđđđđđđđ đâđđđđđđđđđđđđđđ
Le Conseil a procĂ©dĂ© Ă la nomination dâAdministrateurs aux Conseils dâadministration :
– de la Caisse nationale de sĂ©curitĂ© sociale (CNSS) et de lâEcole nationale dâadministration et de magistrature (ENAM) au titre du ministĂšre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale ;
– de lâInstitut des sciences et techniques de lâinformation et de la communication (ISTIC) au titre du ministĂšre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme ;
– de lâEcole nationale des douanes (END) au titre du ministĂšre de lâEconomie et des finances ;
– du Centre de gestion des citĂ©s (CEGECI) au titre du ministĂšre de lâUrbanisme et de lâhabitat.
Le Conseil a Ă©galement procĂ©dĂ© Ă la nomination du PrĂ©sident du Conseil dâadministration de lâEcole nationale dâadministration et de magistrature (ENAM).
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Le Conseil a adopté quatre (04) décrets.
Le premier dĂ©cret nomme les personnes ci-aprĂšs, Administrateurs au Conseil dâadministration de la Caisse nationale de sĂ©curitĂ© sociale (CNSS) pour un premier mandat de trois (03) ans.
ADMINISTRATEURS REPRESENTANT LES EMPLOYEURS
– Monsieur Monhamed Jean Innocent COMPAORE, Directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de Allianz Burkina Assurance, en remplacement de Monsieur Emmanuel KABRE ;
– Madame PayidwendĂ© Priscille ZONGO, Directrice exĂ©cutive de la Chambre des mines du Burkina, en remplacement de Monsieur Toussaint BAMOUNI.
ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS
– Monsieur Marcel ZANTE, SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral confĂ©dĂ©ral de la ConfĂ©dĂ©ration nationale des travailleurs du Burkina (CNTB), en remplacement de Monsieur SiĂ© Justin PALE.
Le deuxiĂšme dĂ©cret renouvelle le mandat des personnes ci-aprĂšs, Administrateurs au Conseil dâadministration de la Caisse nationale de sĂ©curitĂ© sociale (CNSS) pour une derniĂšre pĂ©riode de trois (03) ans.
ADMINISTRATEURS REPRESENTANT LES EMPLOYEURS
– Monsieur Diakarya OUATTARA, Directeur gĂ©nĂ©ral de Coris Holding SA ;
– Monsieur Harouna TOGOYENI, Fondateur dâĂ©tablissements privĂ©s.
ADMINISTRATEURS REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS
– Monsieur Richard TIENDREBEOGO, Membre de la ConfĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale du travail du Burkina (CGTB) ;
– Monsieur Samuel SANDWIDI, Membre de lâUnion syndicale des travailleurs du Burkina (USTB).
Le troisiĂšme dĂ©cret renouvelle le mandat de Monsieur Marcel OUEDRAOGO, Mle 217 041 T, Conseiller en gestion des ressources humaines, Administrateur reprĂ©sentant lâEtat, au titre du ministĂšre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale au Conseil dâadministration de lâEcole nationale dâadministration et de magistrature (ENAM) pour une derniĂšre pĂ©riode de trois (03) ans.
Le quatriĂšme dĂ©cret renouvelle le mandat de Monsieur Marcel OUEDRAOGO, Mle 217 041 T, Conseiller en gestion des ressources humaines, PrĂ©sident du Conseil dâadministration de lâEcole nationale dâadministration et de magistrature (ENAM) pour une derniĂšre pĂ©riode de trois (03) ans.
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Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant nomination de Monsieur Ibrahim Patrick CONGO, Mle 348 114 A, Enseignant-chercheur, Administrateur reprĂ©sentant lâEtat, au titre du ministĂšre de la Transition digitale, des postes et des communications Ă©lectroniques au Conseil dâadministration de lâInstitut des sciences et techniques de lâinformation et de la communication (ISTIC) pour un premier mandat de trois (03) ans.
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Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant nomination de Monsieur Issa KONSEIGA, Officier, Administrateur reprĂ©sentant lâEtat, au titre du ministĂšre de la DĂ©fense et des anciens combattants au Conseil dâadministration de lâEcole nationale des douanes (END) pour un premier mandat de trois (03) ans.
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Le Conseil a adoptĂ© un dĂ©cret portant nomination de Monsieur Hebou Denis HAYORO, Mle 282 969 K, IngĂ©nieur en gĂ©nie civil et hydraulique, Administrateur reprĂ©sentant lâEtat, au titre du ministĂšre de lâUrbanisme et de lâhabitat au Conseil dâadministration du Centre de gestion des citĂ©s (CEGECI) pour un premier mandat de trois (03) ans.
Le Porte-parole du Gouvernement,
Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO
Officier de lâOrdre de lâEtalon

