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Burkina/Situation nationale : « des renégats de la nation rament à contre-courant de la marche triomphale », Nina Ouédraogo, SG de la CNAVC

La Coordination nationale des associations de la veille citoyenne (CNAVC) a animé une conférence de presse ce lundi 8 avril 2024, au centre de presse Norbert Zongo, à Ouagadougou, afin de faire la lecture de la situation nationale.

En matière d’avancer sur la situation de la crise sécuritaire au Burkina, la CNAVC explique que ces dernières semaines, plusieurs localités du pays ont enregistré des prouesses significatives. Selon elles, les localités comme Helintira, Sanaba, sont celles qui ont été reconquises. A cela, s’ajoute le ravitaillement des communes de Pama et Arbinda. A ne citer que ces exemples, la coordination estime que ces actions n’ont été possibles que grâce au don de soi des vaillants combattants, de la réorganisation de l’armée et à la bonne gouvernance du régime en place.

Mais, la coordination note par ailleurs, que ces derniers temps, malgré les exploits du régime en place, « des renégats de la nation se croyant cachés à l’intérieur ou à l’extérieur du pays sous des costumes de démocrates et de soi-disant défenseurs de libertés ou des droits de l’homme, rament à contre-courant de la marche triomphale ».

Ainsi, selon Nina Ouédraogo, secrétaire générale de la coordination, Inoussa Ouédraogo serait à la tête d’un front de déstabilisation.

« Après plusieurs tentatives de s’illustrer journaliste, il est arrivé rien qu’en une semaine à monter aux yeux du monde sa haine pour son pays et sa médiocrité. Sa vocation première qui devrait être l’amour de sa patrie et de patriote engagé dans son travail a été trahie par des instincts guidés par son ventre et de son bas-ventre. », a-t-elle laissé entendre.

Et pour terminer la secrétaire générale de la coordination a fait un appel aux autorités ivoiriennes à répondre favorablement à la requête des autorités du Burkina en renvoyant, dit-elle, « les fauteurs de troubles ». Et souligne en cela que personne ne pourrait mettre en conflit ces deux peuples (burkinabè et ivoirien).

« Nous faisons le distinguo et condamnons le fait que certaines gens avec appétit machiavélique de déstabilisation ou avec des injures publiques à nos autorités soient toujours sur le sol du pays frère. »

Ahoua KIENDREBEOGO/OuagaNews.net

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